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presse - happy house

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Happy House - Inoxydable- Chronicles



Expérience, maturité et complicité s’entendent d’emblée. Ce groupe a un son, qui est la somme de personnalités désormais très assises, des habitudes de jeu qui ne sont pas de l’ordre de la rou- tine, mais dont résulte une extrême souplesse dans les jouages. Si ceux-ci reposent visiblement sur un intense travail collectif, ils découlent de la plume d’Olivier Benoit. (...) Il soumet un important répertoire d’ostinatos de basse, de motifs thématiques répétitifs et de cycles longs à un admirable travail rythmique, structurel, orchestral et de répartition des initiatives improvisées qui rappellent Tim Berne et Marc Ducret. Ainsi, portés par des grooves splendides, tantôt énormes, tantôt frissonnants, jamais les aspects les plus farouches de son expressivité n’auront été mis de la
sorte en valeur. A quoi s’ajoute une pensée guitaristique exprimée en arpèges ou en block chords peu tributaires de l’orthodoxie fonctionnelle mais d’une belle profondeur harmonique.

Franck Bergerot - Jazz Magazine - juin 2008 - disque d'Emoi


Happy House est un groupe français mené par le guitariste Olivier Benoit, avec Julien Favreuille au sax, Nicolas Mahieux à la contrebasse et Jean-Luc Landsweerdt à la batterie. Ils pratiquent un jazz très moderne et créatif, fortement influencé par le rock et qui se démarque des autres fusions parce que la force de leur musique repose sur une cohérence et une expressivité émotionnelle incroyable. La qualité de cette formation est de savoir mêler la fragilité et l’explosion, le contrôle et l’ouverture à des possibilités infinies, la sub- tilité à une attitude punk brute de décoffrage. Le groupe a débuté il y a plus de 15 ans dans un environnement plutôt free jazz et à la surprise générale, il a bousculé son approche pour des compositions très écrites, souvent complexes, comprenant des changements fréquents de rythmes et d’atmosphères, sans mettre de côté la spontanéité de l’improvisation et du rock. Sombre, hargneux et romantique, tout en gardant une cohérence. A les entendre on perçoit que ces quatre garçons jouent ensemble depuis longtemps.

Happy House is a French band led by guitarist Olivier Benoit, with Julien Favreuille on sax, Nicolas Mahieux on bass and Jean-Luc Landsweerdt on drums. Their rock-influenced jazz is very modern, very creative and unlike many fusion : the music has incredible strong focus and emotional expressiveness. The quality of the band is that they join fragility with explosiveness, control with boundless possibilities, subtlety with a raw punk-attitude. The band was created more than 15 years ago, and started out much more in a free jazz environment, but just to take everyone by surprise, the band now shifted its approach to very composed and often complex pieces, with lots of rhythm and mood changes, but without losing the directness of jazz improvisation or of rock music. Dark, angry and sentimental, and still maintaining coherence, not bad ... And the fact that these four guys have played together for a while can also be heard. Nice!

Stefan Gijssels, freejazz blogspot - sept 2008 - ****


 

Si l’énergie demeure l’une des valeurs centrales du projet, la forme
est moins perçue comme le résultat du processus que comme un cadre
préalable canalisant forces et pulsions dans un discours tenu et maîtrisé
de bout en bout. Une rythmique à la fois structurée et élastique distillant
des grooves organiques et obsédants ; un saxophone au lyrisme tortueux
tout en brisures de tons et zigzags formels ; une guitare au riffs concas-
sés à la fois chorégraphique et abstraite : les quatre lascars d’Happy
House inventent une musique aux cadres rythmiques et mélodiques
volontairement simplifiés dans un esprit rock assumé qu’ils prennent un
malin plaisir à dynamiter de l’intérieur en multipliant points de vue et
lignes de forces contradictoires en un joyeux et continuel déséquilibre
collectif.

Stéphane Ollivier - Jazzman, juin 2008 - ****



Le jeu rythmique est particulièrement bien assis, le son puissant, ouvertement rock. Du bel ouvrage. (...) Les dix titres très différents
les uns des autres devraient gratifier les tym- pans des amateurs de jazz, de fusion et, qui sait ? de rock.
Yann Parigot - Lille Métropole Info, juin 2008


...Autre groupe, autre collectif : Happy House (créé en 1992) émane de l’association Circum, à Lille. Plus qu’un quartet comme on l’entend dans le jazz, cette formation cultive une esthétique de groupe de rock "compact". Dans cette joyeuse maison, l’ambiance est tendue : le feu couve sous le terril et une musique carbonique s’échappe des rouages de cette mécanique surprenante. En d’autres termes, ce disque Inoxydable est mat, métallique et tranchant : les solistes (O. Benoît en particulier) s’expriment avec une liberté qui ne laisse pas de place aux concessions charmeuses. Les mélodies minimales qui se dégagent des thèmes sont laminées au marteau pilon dès que monte la tension (Chair)... Il faudra attendre Abyme, introduit superbement par la contrebasse de Nicolas Mahieux, pour que des espaces s’ouvrent et que l’atmosphère s’aère en rendant plus lisibles les différentes voix (le saxophone de J. Favreuille en particulier). "S" apparaît ensuite comme une oasis de douceur et de calme : la lumière est là, la sérénité aussi... Les fenêtres de "l’Happy House" s’ouvrent...

Thierry Giard - culture jazz




Extraits de presse

Impro-Jazz Nov. déc. 2000 - N°70

[...] la même volonté de trava ilsur la forme et sur le temps distendu qui semble guider les compositions d'µOlivier pour Happy House. La référence à Ornette Coleman n'est pas littérale, elle est à chercher dans une forme d'harmolodie, de lignesqui se croisent, au gré d'une sérieuse alchimie entre un saxophoniste tour à tour éthéré et éraillé, un batteur musclé, un guitariste au son rock et acide et un contrebassiste d'obédience plus traditionnellement "jazz". Le thème, la mélodie, les unissons et les embrasements apparaissent derrière ou après l'impro, qui est souvent un momentde flottement hors- tempo, où le guitariste se fait plus volontiers manipulateur électronique."

Claude Colpaert

Jazz@round, N° 26 janvier-février 2001

"[...] avec Happy house, Olivier Benoit creuse une référence universelle pour les musiciens de jazz : Ornette Coleman. Le saxophoniste Julien Favreuille, le batteur Jean-Luc Landsweerdt, et Nicolas Mahieux à la contrebasse participent pleinement à cette exploration des formes, à ces controsions du temps. Ici mis à part Solo, toutes les compositions sont signées par Benoit. En plus du style, d'une démarche résolument audacieuse et ouverte, Olivier Benoit révèle une écriture faite de lignes mélodiques et de constructions plus élaborées. Sans ditributeurs en Belgique, ce CD peut être commandé par Courriel. [...] Le talent nourri de liberté semble avoir un effet multiplicateur sur les activités d'Olivier Benoit, à suivre donc !"

Philippe Schoonbrood

Jazz Magazine - N° 509 - novembre 2000

et multiplicaQuatre jeunes Français qui creusent leur sillon avec (entre autres) Ornette en point de mire et des idées à revendre. Rien de frénétique dans leur démarche : la créativité sourd de l'interactionde quatre garçons dont on devine la connivence.La présence de Jacques Mahieux, père du bassiste, comme directeur artistique atteste au contraire d'un ancrage dans la tradition "post -soixante huitarde (ça n'a rien de péjoratif) du jazz et de l'improvisation européens. D'une volonté de placer leur quête sous le regard d'un grand acteur de la scène musicale ouverte (Kevin Koyne, Deschepper, Robert Wyatt, Steve Swallow, Et Autres noms d'Oiseaux...) des trente dernières années. A suivre, avec attention, impatience et passion.

Thierry Quénum

La Voix Du Nord - 12 juin 2000

"Les partitions du guitariste Olivier Benoit engagent ce quartetsur les voies difficiles d'un jazz déstructuré que les musiciens arpentent avec convistionet une énergie débridée. Parfois déroutante parce que terriblement inventive, cette musique emportera l'adhésion des amateurs d'explosions impulsives que dompte une ossature sans faille."

B. de Witte

Ouest France, le 25 juillet 1996

"Le seul groupe qui a eu une attitude vraiment jazz. Le seul qui a fait preuve de recherches dans le répertoire, avec les compositions les plus riches", estime Claude Barthélémy, qui présidait le jury du tremplin. "Nous l'avons primé parce que nous les sentons en devenir", ajoute le guitariste. Happy House s'approche assez bien de l'esprit du jazz, défini par Claude Barthélémy : une musique en constante évolution. "Nous ne jouons que des compositions, précise Julien Favreuille. Avec autant d'éléments du free-jazz que du jazz classique."

La Voix du Nord, 21 novembre 1995 : "Week-end à Berlin avec Happy House"

[...] Sur des compositions pour la plupart dues à Olivier Benoit, le quartet explore des voies difficiles. Profondément influencés par le jazz moderne européen, les thèmes reposent sur des climats sonores que les musiciens, comme pour un tableau, instaurent d’abord par petites touches, avant d’arriver à une construction finale où chacun s’exprime pleinement et le plus librement possible. Une façon d’amener insensiblement l’auditeur sur les chemins free-jazz difficiles à suivre d’emblée. On a particulièrement aimé le jeu du contrebassiste Nicolas Mahieux, dont le discours posé, sans démonstration superflue, marque un style affirmé et déjà très personnel.

Nord Eclair, 29 mai 1995

[...] C’est avec brio que Happy House a su mettre en place un traitement original de la matière sonore. Les thèmes sont beaux et variés, très rythmiques. Que demander en plus à une musique faite de pulsion. Alliant la tête et le muscle, un jazz qui vous prend à bras le corps et à hauteur d’âme et vous rend aussi heureux que ces musiciens.

Jazz magazine n° 447, 1995 (Gérard Rouy)

[...] et Happy House, un quartette de jeunes musiciens que l’on devine à l’aube d’un bel avenir : Julien Favreuille, Olivier Benoit, Nicolas Mahieux, et David Christiaens ont révélé ce jour-là une ardeur, un appétit et une hargne qui sont l’apanage des grands.

Jazz in Time, décembre 1994 (Gilles Boudry) 15 octobre, festival Improvisibles, Lille
 
[...] Pour cette soirée de clôture des Improvisibles, ce dernier [le batteur] a laissé les baguettes à Jacques Mahieux qui n'est autre que le père du contrebassiste d'Happy House, une dénomination faisant référence au thème d'Ornette Coleman [...]. Là aussi, Jacques Mahieux a su se positionner en invité attentif et pas le moins du monde envahisseur, des qualités que l'on savait déjà siennes. Une mention toute particulière au saxophoniste Julien Favreuille, au son profond et véhément. Pour que la boucle soit bouclée en beauté, Tommy Smith est venu rejoindre le quartet pour deux rappels chaleureux.  

Jazz Diffusion magazine, septembre 1994

[....] Evanescentes et enflammées, les compositions de ce groupe sont de réelles splendeurs. Quand on sait que le jeune et talentueux batteur Thomas Grimmonprez cède ses baguettes à Jacques Mahieux, batteur et chanteur,  nous sommes sûrs que leur concert sera inoubliable.

contact :    obenoitpublic@gmail.com         Tel : +33(0)6 80 37 97 31

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